Les Mouettes ont parfois des cris de chien

Facebook. Livre des visages, mais pas que. Souvent monde des influenceurs, espace de partages du quotidien Mr. Toutlemonde, mais aussi scène artistique, rarement. C’est pourtant ainsi que Julia Samarkand s’est emparée du réseau social. Journal de bord d’un marin, d’un poète, d’une survivante qui a traversé tempêtes et perdition. Elle a pris la plume et est devenue albatros, ou mouette. 

Tiré de ses textes, Les Mouettes ont parfois des cris de chien, vous propose, pour une fois, ne pas entrer dans le réseau social, mais le sortir. Sortir le numérique vers le vivant, l’organique. Détacher son regard du bleu de Facebook et s’évader dans le bleu du ciel… prendre le large. Devenir mouettes vous aussi, survoler le monde, se jouer des courants et crier à pleins poumons.

Les Mouettes ont parfois des cris de chien, c’est la fusion de l’expression digitalisée et du spectacle vivant. Matière à théâtre, matière à cinéma, qui questionne le sens profond de la vie, des épreuves, des joies et des pleurs. Un spectacle qui prend la vie à bras le corps, dans toute sa force.

Par l'ascenseur à poissons cie

Textes : Maria Patrono, Manon Pulver, Julien Merieau et Falk Richter
Ecriture : Magali Fouchault
Mise en scène : Geneviève Guhl
Jeu : Nathalie Boulin et Magali Fouchault
Scénographie : Claire Peverelli

Création lumière et régie : Dorothée Lebrun
Images projetées : Séverine Barde
Composition musique : Ella van der Woude

Co-production : le Spot