Cet été, l’art s’épanouit en plein air : immersion dans les expositions valaisannes à ciel ouvert ! ...
4. juillet à 16:45
"Il y a ce qui fait qu'on habite un lieu et que ce lieu nous abrite. C'est ce que je recherche ici avec ces "esprit des lieux", une rencontre où l'être et son lieu ensemble communiquent." S.Z.
Un adolescent enduit d'encre de seiche s'immerge dans l'eau. L'encre noircit l'espace, laissant apparaître ensuite des yeux de seiche qui s'enfoncent dans les profondeurs.
Photographie issue d'un ensemble de photographies réalisées sur l'île de Kerkennah. Traces. Présences/absences. Rêves. L'invisibilité des départs en mer vers l'Europe.
Tension entre sublime et mélancolie, matière noire, fonte des glaces.
Le dernier refrain du poème :
"We are the black sun engraving our veins / All the water can't slake the thirst / but love perhaps can."
"... il ne s'agit plus d'utiliser les lames comme des burins, ni de se confronter à la matière, mais de s'en dégager en les considérant comme le prolongement des mouvements du corps." extrait du texte de Sabine Zaalene, cf. "Mémoire de la pratique sportive, l'action dans l'engagement artistique", LIGEIA, dossiers sur l'art, "Corps et performance", no 109, 2013, Paris
La légende d'un homme qui n'a pas voulu être déplacé avec les autres habitants lors d'une vague de peste noire. Cet évènement a marqué le changement du nom du village de Turtmann en Dortmann, la contraction de la phrase "Dort ist min Mann".